Toulouse game show, la folie geek


Le monde geek est la première culture transgénérationnelle. Dans les vastes halls du parc des expositions, on croisait des enfants, des jeunes, et toutes les générations qui ont biberonné Dragon Ball ou grandi avec le Club Dorothé, soit les trentenaires, les quarantenaires et quelques cinquantenaires attardés. Tous partagent un vif intérêt pour le monde du manga, la civilisation nippone, la technologie et le jeu vidéo.

Des centaines de stands s'étalaient sur 3 halls, du plus commercial au plus culturel, du plus racoleur au plus tranquille.

Poupées Kokeshi

Origami

Des milliers de goodies

Quelques éditeurs proposaient leurs ouvrages spécialisés, quelques librairies présentaient des mangas bien sûr, mais aussi de nombreuses publications sur le Japon. Et des dédicaces. Maliki et son avatar Souillon pour sa BD très populaire, ou la discrète Nancy Pena dont je recommande les livres et en particulier Le chat du kimono (éditions La Boîte à Bulles).


Des stars ! David Hewlett, acteur dans Stargate - d'ailleurs la porte des étoiles était là, elle, je l'ai reconnue - ou Gilliam Anderson l'inoubliable Scully dans X-Files, et d'autres célébrités dont les stands de dédicaces et photocall présentaient des files d'attente de plusieurs kilomètres.

Beaucoup plus discrets et sans doute plus distrayants, les ateliers accueillaient les visiteurs curieux de partager des connaissances.

l'atelier kokeshi

l'atelier effets spéciaux et maquillages

l'atelier d'écriture

l'atelier photo cosplay

Cette édition du Toulouse Game Show, TGS c'est plus rapide, était marqué par le Free Hug, le câlin désintéressé comme pour se consoler et affirmer que l'on appartient à la même famille.

aucun câlin n'est improbable au TGS

Un part belle du salon était réservée à toutes les formes de jeux (go bien sûr, jeux de rôle et jeux de plateau) mais le jeu vidéo l'emportait largement.




Le rétro-gaming m'a fait retrouver un doom like des années 90 : Heretik. On y retrouvait aussi les cubes qui nous servaient de téléviseurs et les anciennes consoles.



Le TGS est aussi un lieu exposition pour les visiteurs. On se montre et on se met en scène. Le cosplay n'est pas que l'adoration d'un héros; il démontre la capacité de s'amuser de sa propre image, de briser les codes vestimentaires. Alors la photographie s'y exprime très librement.

« J'peux t'prendre en photo ? »

« J'peux t'prendre en photo ? »

« Tu veux poser avec moi ? »



Et on s'amuse aussi d'être photographié à côté d'improbables créatures.



Dans le cosplay, certains acquièrent des costumes tandis que d'autres se confectionnent leurs propres vêtements, montrant inventivité et savoir-faire.










































Une folie douce souffle sur le TGS et c'est très rafraîchissant.


Commentaires

  1. Super t'es photo^^ surtout que j'ai pu me retrouver j'etait en luka c'était vraiment génial . vivement le prochain TGS ������

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